Montréal Danse

Montréal Danse

En 1986, Paul-André Fortier et Daniel Jackson fondent Montréal Danse afin de soutenir et de mettre en valeur les multiples voix chorégraphiques québécoises qui émergent à l’époque.
Sous la direction artistique de Kathy Casey dès 1996, Montréal Danse met en place une structure de développement chorégraphique axée sur la recherche, tout en poursuivant son mandat de producteur artistique. Les collaborations fructueuses tissées au fil des années entre la compagnie et ses chorégraphes invités reflètent une passion commune pour l’exploration chorégraphique sur des sujets cruciaux et actuels.

Le corps comme vecteur d’idées est au cœur de la recherche artistique de la compagnie. Les créateurs iconoclastes avec lesquels Montréal Danse s’allie questionnent les territoires d’expression et repensent les contextes dans lesquels la danse peut s’exprimer. À ce jour, la compagnie a produit une cinquantaine d’œuvres, marquées par l’élan et l’audace.

Le modèle organisationnel de Montréal Danse redéfinit le mandat d’une compagnie de création tout en participant au renouvellement de la discipline. La compagnie s’engage à octroyer le temps nécessaire aux créations et à accorder les ressources pour l’exploration de nouveaux territoires, au sein d’une structure qui encourage l’épanouissement. Par son implication dans la création d’œuvres atypiques et lumineuses, par l’exploration de voies novatrices et par son soutien aux artistes, Montréal Danse prend part au développement d’une communauté active et diversifiée.

Parmi ses activités de développement chorégraphique, Montréal Danse offre les Ateliers de recherche chorégraphique et les Research Events, permettant aux chorégraphes d’explorer leurs aspirations artistiques dans un environnement bienveillant et propice à la réflexion. Les échanges au cœur de ces deux projets permettent d’explorer les idées de la discipline, de participer à leur élaboration et d’encourager leur diffusion.

Montréal Danse relie l’art à l’action sociale depuis 2010 avec Danse contre la violence (DCV), un projet qui offre aux femmes victimes de violence et à leurs enfants différents types d’ateliers de mouvement les aidant à se réapproprier leur corps, à regagner confiance et estime personnelle. Les ateliers proposés profitent à une clientèle grandissante et toujours plus diversifiée.
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