Marc-André Hamelin joue l’Empereur
Dates
Le Don Juan de Richard Strauss ouvre héroïquement ce concert placé sous le signe de la conquête.
Le compositeur avait à peine 24 ans lorsqu’il se lança dans ce poème symphonique, qui fut aussi son premier succès. En référence au Don Giovanni de Mozart, il revisitait le mythe tout en affirmant l’idéal romantique allemand, faisant la démonstration de sa ferveur inspiratrice et de ses talents d’orchestrateur.
Le célèbre concertiste Marc-André Hamelin, dernier des quatre pianistes québécois invités cette saison, livre son interprétation d’une autre œuvre conquérante, le Concerto « Empereur » de Beethoven. Ses rythmes martiaux, ses thèmes triomphaux et son caractère visionnaire dépassent le cadre du concerto classique : le compositeur réagit ainsi à la marée des conquêtes napoléoniennes.
Enfin, place au « roi de la valse viennoise », Johann Strauss fils, pour une autre évocation impériale : sa célébrissime Valse de l’Empereur qui associe envolée romantique, musique symphonique et marche militaire dans une irrésistible invitation à la danse.
Duncan Ward, chef
Marc-André Hamelin, piano
Le célèbre concertiste Marc-André Hamelin, dernier des quatre pianistes québécois invités cette saison, livre son interprétation d’une autre œuvre conquérante, le Concerto « Empereur » de Beethoven. Ses rythmes martiaux, ses thèmes triomphaux et son caractère visionnaire dépassent le cadre du concerto classique : le compositeur réagit ainsi à la marée des conquêtes napoléoniennes.
Enfin, place au « roi de la valse viennoise », Johann Strauss fils, pour une autre évocation impériale : sa célébrissime Valse de l’Empereur qui associe envolée romantique, musique symphonique et marche militaire dans une irrésistible invitation à la danse.
Duncan Ward, chef
Marc-André Hamelin, piano
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