Chloé Sainte-Marie
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© Pierre Dury
C'est d'abord par le cinéma que le nom de Chloé Sainte-Marie est connu du public, révélé par le cinéaste Gilles Carle, dans la seconde moitié des années quatre-vingt.
En 1989, elle interprète avec François Guy la chanson thème que ce dernier a écrite pour le film Cinéma, cinéma, marquant les 50 ans de création de l'Office National du Film et les 25 ans de la section française de production.
Ce n'est qu'au milieu des années 90 qu'elle fait le saut dans l'arène musicale et grave son premier enregistrement commercialisé « L'emploi de mon temps ». Il lui faut attendre en 1999 pour se révéler véritablement au public, avec son nouvel album « Je pleure, tu pleures » qui est alors accueilli comme la surprise de l'année. Au cours des deux années qui suivent, Chloé présente ses nouvelles chansons sur scène et la magie opère à nouveau. Le disque et le spectacle sont en nomination pour les Félix dans six catégories au Gala de l'Adisq 2000.
« Je marche à toi » paraît en septembre 2002 et suit tout naturellement les traces du précédent, se voyant décerner le Félix de l'Album folk contemporain de l'année en 2003. Chloé et son équipe musicale parcourent le Québec et font entendre jusqu'en Europe (France, Suisse, Belgique) les mots qui les inspirent. En 2004, leur spectacle est la Révélation du Festival de Pully, en Suisse.
Partageant son temps entre le métier de la scène et les préoccupations du quotidien, Chloé mène de surcroît un combat de tous les instants pour assurer à son compagnon, atteint de Parkinson, une difficile autonomie. Leur intérêt commun pour toute forme de création se traduit par la participation de Gilles Carle à chacun des albums. L'album « Parle-moi » qui comporte cette fois-ci un premier texte en langue mohawk : Rateriioskowa, fruit de la collaboration de Joséphine Bacon et des musiciens Gary Rice et Wendy Simpson sans oublier la touche de Réjean Bouchard qui mène à nouveau le projet à bon port.
On revoit aussi Chloé Sainte-Marie au cinéma, mais cette fois dans sa vie de conjointe et de muse, dans le documentaire de Charles Binamé, Gilles Carle ou l'indomptable imaginaire, qui prend l’affiche en salle à l’automne 2005. Ce film du réalisateur de Séraphin: un homme et son péché, aborde subtilement les thèmes de l’amour et de la mort dans le décor verdoyant de l’Île verte...
Ce n'est qu'au milieu des années 90 qu'elle fait le saut dans l'arène musicale et grave son premier enregistrement commercialisé « L'emploi de mon temps ». Il lui faut attendre en 1999 pour se révéler véritablement au public, avec son nouvel album « Je pleure, tu pleures » qui est alors accueilli comme la surprise de l'année. Au cours des deux années qui suivent, Chloé présente ses nouvelles chansons sur scène et la magie opère à nouveau. Le disque et le spectacle sont en nomination pour les Félix dans six catégories au Gala de l'Adisq 2000.
« Je marche à toi » paraît en septembre 2002 et suit tout naturellement les traces du précédent, se voyant décerner le Félix de l'Album folk contemporain de l'année en 2003. Chloé et son équipe musicale parcourent le Québec et font entendre jusqu'en Europe (France, Suisse, Belgique) les mots qui les inspirent. En 2004, leur spectacle est la Révélation du Festival de Pully, en Suisse.
Partageant son temps entre le métier de la scène et les préoccupations du quotidien, Chloé mène de surcroît un combat de tous les instants pour assurer à son compagnon, atteint de Parkinson, une difficile autonomie. Leur intérêt commun pour toute forme de création se traduit par la participation de Gilles Carle à chacun des albums. L'album « Parle-moi » qui comporte cette fois-ci un premier texte en langue mohawk : Rateriioskowa, fruit de la collaboration de Joséphine Bacon et des musiciens Gary Rice et Wendy Simpson sans oublier la touche de Réjean Bouchard qui mène à nouveau le projet à bon port.
On revoit aussi Chloé Sainte-Marie au cinéma, mais cette fois dans sa vie de conjointe et de muse, dans le documentaire de Charles Binamé, Gilles Carle ou l'indomptable imaginaire, qui prend l’affiche en salle à l’automne 2005. Ce film du réalisateur de Séraphin: un homme et son péché, aborde subtilement les thèmes de l’amour et de la mort dans le décor verdoyant de l’Île verte...
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